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« On y découvre trois contes tsiganes, savoureux, aussi drôles pour les enfants que pour les adultes.
Sur scène, deux comédiens musiciens, Chaoro et Luludji nous emmènent en voyage, au son de leur violon et de leur accordéon. On découvre les origines indiennes des tsiganes, on apprend que le vent de la liberté nourrit leur musique.
Le deuxième conte, qui a donné son nom au spectacle, est particulièrement drôle, avec Chaoro grimé en diablotin, impayable. Les enfants, eux, retiendront que le violon a une âme.
Enfin, on accompagne Bartalo, qui prend la route et fait son apprentissage auprès des différentes communautés tsiganes, les chaudronniers, les éleveurs de chevaux, les musiciens. Le voyageur de passage y est toujours accueilli, mais il ne mange que s’il travaille…  »

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